Rihanna pose seins nus avec le Dieu Ganesh : la polémique s’emballe en Inde (photos)

La chanteuse américaine est dans la tourmente en Inde après avoir posé, seins nus pour une marque de lingerie, avec un pendentif à l’effigie de Ganesh autour du cou.


Rihanna ne s’attendait certainement pas à une telle polémique et pourtant, elle est aujourd’hui au cœur d’une tempête politique et médiatique en Inde. En cause ? Une photo d’elle posant seins nus pour une marque de lingerie avec un pendentif de Ganesh à son cou, la plus populaire des divinités en Inde.  

Des politiques ont même déposé plainte

Alors que depuis la publication de ladite photo, la polémique bat son plein, des politiques ont d’ores et déjà annoncé avoir porté plainte contre la star internationale. Le Conseil mondial hindou, groupe rattaché au parti nationaliste hindou au pouvoir, a ainsi déclaré avoir déposé plainte dans le but d’obtenir de Twitter et Facebook le retrait de l’image. Mais aussi, afin que des mesures contre les comptes de Rihanna soient prises.

Ram Kadam, un parlementaire membre du parti nationaliste du Premier ministre Nahendra Modi, a également tweeté : « C’est scandaleux de voir comment Rihanna se moque honteusement de notre Dieu bien-aimé Ganesh » ainsi que « Cela montre à quel point elle n’a aucun respect pour la culture et les traditions indiennes ».

Une nouvelle polémique qui tombe mal

Pour Rihanna, c’est une nouvelle polémique qui tombe mal en Inde. L’interprète d’Umbrella s’était en effet déjà attiré les foudres des autorités indiennes en témoignant son soutien aux agriculteurs locaux. Alors que ces derniers manifestaient en février dernier contre les réformes agricoles menées par le gouvernement, Rihanna avait ainsi tweeté, « Pourquoi ne parlons-nous pas de cela ? ». Ces simples mots, retweetés plus de 230 000 fois et commentés par près de 80 000 internautes avait trouvé écho auprès du ministre indien des Affaires étrangères. Il s’était alors indigné que Rihanna, comme d’autres personnalités internationales, s’immiscent de façon « sensationnaliste  » dans le dossier des réformes agricoles.

Exit mobile version